Johannes Vermeer (1632-1675) A Young Woman seated at a Virginal c. 1670-2 National Gallery, Londres
Alors, de qui est le tableau derrière la jeune femme assise au virginal ? Cher visiteur, inscrivez votre réponse dans la rubrique "réagir à cet article" en bas de page.
Le virginal est un instrument de musique à clavier et à cordes pincées, comme l'épinette et le clavecin, prisé par la bourgeoisie anglaise et hollandaise au XVIème et au XVIIème siècle.
JLD est vraiment trop fort, il faudra songer à l'interdire de réponse ( mais non, JLD, c'est une menace en l'air ) ; cependant tant que le nom du peintre n'est pas identifié, le tableau n'apparait pas. Un indice : c'est un caravagiste d'Utrecht.
Si F.V. s'en mèle ... me voici contraint de livrer la solution :
JLD est vraiment trop fort, il faudra songer à l'interdire de réponse ( mais non, JLD, c'est une menace en l'air ) ; cependant tant que le nom du peintre n'est pas identifié, le tableau n'apparait pas. Un indice : c'est un caravagiste d'Utrecht.
Si F.V. s'en mèle ... me voici contraint de livrer la solution :
Dirck Jaspersz. van Baburen (c. 1595 – February 21, 1624) l'entremetteuse (The Procuress), 1622, Museum of Fine Arts, Boston
Pourquoi Vermeer l'a-t-il reproduit, dans ce tableau et dans le Concert, (tableau volé en 1990 au Isabella Stewart Gardner Museum, à Boston ) ? Tout simplement parce qu'il appartenait à sa belle-mère Maria Thins dont nous parlons dans une autre partie du site (voir Vermeer et le Libre Arbitre, dans les Chroniques de l'arc-en-ciel ).
Vermeer était non seulement artiste mais marchand d’art, comme son père était aubergiste et brocanteur. Il entreposait chez lui quelques œuvres qu’il fit apparaître à l’arrière-plan de ses productions. Ne portent en effet sa signature que trente-cinq œuvres, dont vingt-cinq contiennent un ou plusieurs tableaux dans le tableau. La lecture de son testament révèle qu’endetté jusqu’au cou, dans une situation matérielle proche de la misère, Vermeer en possédait encore une vingtaine, dont deux signés de Fabritius.
Vermeer était non seulement artiste mais marchand d’art, comme son père était aubergiste et brocanteur. Il entreposait chez lui quelques œuvres qu’il fit apparaître à l’arrière-plan de ses productions. Ne portent en effet sa signature que trente-cinq œuvres, dont vingt-cinq contiennent un ou plusieurs tableaux dans le tableau. La lecture de son testament révèle qu’endetté jusqu’au cou, dans une situation matérielle proche de la misère, Vermeer en possédait encore une vingtaine, dont deux signés de Fabritius.
Johannes Vermeer (1632-1675) Le concert c. 1664-7 Isabella Stewart Gardner Museum, Boston jusqu'en 1990