Parce que, par Castor, une femme sent vraiment bon quand elle ne sent rien. Car ces vieilles qui s'enduisent de parfums, qui essaient de se rajeunir, décrépites, édentées, qui cachent les défauts de leur corps par du fard, quand la sueur se mélange aux parfums, aussitôt elles sentent comme si un cuisinier avait mélangé des sauces : tu ne sais ce qu'elles sentent, sinon que tu t'aperçois d'une seule chose : elles sentent mauvais.
Plaute (v. 254-184 av. J.-C.), Mostellaria, 273-278