Neuroland-Art

Seattle II

©Photo Benoit Kullmann

Bienvenue à nouveau Seattle, cette fois ci au printemps, avec un temps qui a évolué d'hivernal à estival en une semaine. On commence très fort avec une blague racontée par un conférencier très sérieux de l'AAN justifiant la consommation régulière de bière :

et la découverte de l'origine du style de Françis Bacon : c'était pendant un trajet en Monorail entre Pine Street et la Space Needle de Seattle, justement.

Il a d'ailleurs intitulé cette première oeuvre " Mère et fille dans un monorail "

La complainte du porcinet grippé

La bière saura-t-elle nous protéger de la nouvelle panique orchestrée par les médias ? La fièvre porcine enflamme les esprits et fait les gros titres des journaux et des chaînes d'information continue : or Seattle est une ville de cochons.

Vous rappelez vous ce défilé porcin photographié par votre serviteur il y a six mois :

©Photo Benoit Kullmann

On n'en voit plus la queue tirbouchonnée d'un. J'écrivais au mois de Décembre dernier : "Même leur hall of fame est bizarre ; il faudra que je pense à regarder la prochaine fois que je serre la main d'un autochtone" : une fois de plus, l'esprit visionnaire qui me caractérise m'a permis d'anticiper de six mois une triste réalité : actuellement il est impossible de parler en face à quelqu'un, tant la crainte d'une contamination virale est intense.

©Photo Benoit Kullmann

Ils ont beau se teindre en bleu ou en rose, on les reconnaît comme les vraies blondes, à leurs comportements dénués de bon sens.

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

Le culte du cochon ne date pas d'hier :

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

Le cochon semble la source principale de l'inspiration artistique à Seattle :

Un banc de cochon, qui préfigurait ce que nous allions observer à l'aquarium de Seattle,

World peace : j'ai même rencontré la paix des cochons !

Le corbeau noir, de ceux qui annoncent les mauvaises nouvelles et ne reviennent pas à la fin des déluges, ne m'a fait aucun commentaire mais j'ai rencontré un écureuil qui avait des idées très arrêtées sur la question.

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

"Moi, la grippe porcine, je m'en bats les noisettes" nous a-t-il déclaré.

Pioneer Square blues

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

Pioneer Place a tellement de charme que nous y avons expédié deux exploratrices : çà fait tout de suite plus vivant et il est important d'apporter la french touch ce que nos deux ambassadrices ont assumé en rechignant un peu.

©Photo Benoit Kullmann

Les ambassadrices rechignantes traversant dans les clous

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

MFT montre son super flaschouilleur

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

Les ambassadrices n'écoutant que leur coeur sont devenues missionnaires

©Photo Benoit Kullmann

Malheureusement nos nouvelles ambassadrices du coeur n'entendent cette pauvre fashion victime qui émet un chant désespéré et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.

©Photo Benoit Kullmann

©Photo Benoit Kullmann

MFT donnant bénévolement un cours d'histoire de l'art : de l'influence des Médicis sur les architectes de la côte Ouest au début du XXème siècle .

Quelques monstres marins et autres curiosités aquatiques

On commence par un spectacle médusant :

©Photo Benoit Kullmann

Elles sont bien jolies mes converses. Dommage qu'en porter soit devenu complètement ringardos !

Nos ambassadrices repèrent la horde de photographes qui les attend à la sortie du Seattle Aquarium

©Photo Benoit Kullmann

"Il nous fera quand même pas le coup de Paul Meurisse dans le Monocle" ! Ces jeunes personnes peu cérvelées veulent sans doute dire, le coup de Jacques Tati dans Mon Oncle ; et La Boussole Interne de discuter sans méfiance avec MFT, lui racontant l'histoire de Paf le chien.

©Photo Benoit Kullmann

Eve la boussole cherche une excuse : "c'est que j'avais pas compris ce qui est écrit dessus le panneau".

Le meilleur antalgique c'est quand même la bière, laquelle à dose convenable donne des ailes aux neurones.